Les chroniques du monde qui coule

Paris - Katmandou en autostop. Parti à la découverte du monde et des humains, je vous propose ici un témoignage pseudo-journalistique, à hauteur d'homme et de paysage.

image_author_Les Chroniques du monde qui coule _(Hippolyte)
Par Les Chroniques du monde qui coule (Hippolyte)
Partager la newsletter :

Paris - Katmandou en autostop. Parti à la découverte du monde et des humains, je vous propose ici un témoignage pseudo-journalistique, à hauteur d'homme et de paysage.

« La compréhension du monde est la première étape vers son changement » disait Marx. Loin de toute considération politique, la compréhension du monde qui nous entoure est un idéal, un horizon inaccessible vers lequel tend tout voyageur, être curieux par essence. S’il est une chose que l’homme ne comprendra jamais, c’est bien le monde. Il nous expose chaque jour à l’étranger, au nouveau. Ce monde qui nous explose chaque jour au visage, et qui peut trancher à tout instant le fil ténu de nos existences. Les chroniques du monde qui coule c’est avant tout cela: aller chercher le nouveau, le beau, l’altérité. Aller chercher l’explosion des sens, la détonation cérébrale, le souffle chaud d’une perception qui ne sera plus jamais la même. Les chroniques du monde qui coule c’est aussi vous faire passer l’onde de choc. Essayer de faire détonner cette rencontre, ce concept, cette découverte via vos écrans, les détournant de leur rôles anesthésiques. Alors il faut témoigner. Témoigner d’un monde qui change à toute vitesse, d’un monde polarisé qu’on perçoit comme à travers un filtre Instagram en noir & blanc, d’un monde où l’on sait que l’humanité et à la fois la fierté et la perte d’une planète exceptionnelle. Sans filtres, sans intermédiaires, au plus prêt des gens et au plus vrai des cultures, ce que je vous propose à travers ce projet, c’est de partager mon regard. Au diable (vauvert) les lignes éditoriales, les restrictions des médias, les tabous et l’auto-censure. Je vous propose une fenêtre sur l’autre, à hauteur d’homme et de paysage, et promet de tout faire pour stimuler votre intérêt et économiser votre attention. Quand on commence un texte par une citation, il faut le finir par une citation. Ce sera celle d’un autre voyageur, Ludovic Hubler, qui jurait à l’aube de son retour : « Je compte bien garder à jamais cette capacité à m’émerveiller et à me révolter, les deux mamelles de l’humanisme » Pour ça, vous pouvez compter sur moi.

Les Chroniques du monde qui coule (Hippolyte)

cover-img